01. Real Ting Intro 02. Double Trouble 03. See A Man Face 04. Nine On My Mind 05. Shoot To Kill 06. That's All We Need 07. Own Destiny 08. Crazy 09. Big Box Of Blunts 10. Bad Luck 11. Real Ting 12. Real Lover 13. Body and Shape 14. Take It Easy 15. Play De Selection 16. Teaser 17. Baby Father 18. Stop Dat Shit
Origine du Groupe : Germany , U.K , Denmark , Japan Style : Reggae , Ragga Dancehall Sortie : 2012
From http://www.jahtari.org The Maffi helicopter finally takes off again for it's next mission, this time with a Rub-A-Dub specialist team on board who are about to infiltrate unsuspecting dancefloors worldwide. Sensi expert Kenny Knots parachutes out first with a boom tune called "Herb From Grow" in his backpack, while special agent Speng Bond - with the license fi toast - is keeping up the vibes in the flying command center with "Tann Up Solid". The Ninja MC team Rub-A-Dub Market, who usually run tings and sound system special ops code- named "Part2Style" down in Tokyo / Japan, are at the controls of the B-side with their track "Fever".
Inside the suitcase on the backseat is the "Robotron Riddim", the dub version of Ranking Levy's "Mad Man Syle" (from "Jahtarian Dubbers Vol. 3"). Three murdah Rub-A-Dub cuts on some rare, early Maffi riddims plus one Dub - for your ears only! All produced and dubbed up by disrupt in the Jahtari bunker, with a bomb of a cover from the Superhero team Ellen G. / MyLord, who also did the masterpiece sleeve for Mr. Willamz' "Dancehall Hobby EP".
Tracklist : 01 - Kenny Knots - Herb From Grow 02 - Speng Bond - Tann Up Solid 03 - Rub-A-Dub Market (Part2Style) - Fever 04 - Maffi - Robotron Riddim
Stand High a sortit un nouvel album "Midnight Walkers", analyse :
Je ne pense pas nécessaire de faire une présentation du Stand High Crew, mais au cas ou vous ayez hiberné pendant quelques années ou que vous reveniez du futur pour lire cet article, je vais m’y coller.
Stand High, c’est 3 membres MAC Gyver , Rootystep et bien sûr Pupajim le MC. C’est d’ailleurs par la voix de Pupajim et ce style si particulier entre toast et rubadub qu’est né le « dubadub » [1] style si cher au crew breton. Pupajim qui est, d’ailleurs, plébiscité par le public à même l’honneur d’être joué sur certaines radios dont Radio Nova et apparaît comme le moteur visible du crew. Mais Stand High c’est aussi et surtout une bande de déchaînés, toujours prêt à « pull-uper » [2] une tune et mettre le feu à une soirée qui s’enfonce dans la moiteur de la nuit. Stand High c’est aussi un « sound system » sans sono… les représentants les plus emblématique de la nouvelle scène, celle des djeuns avec des casquettes américaine avec l’étiquette encore collée dessus, des blousons de ski en plastique bleu fluo des années 80, des lunettes à la P. Manœuvre, des grosses envie de jumper à la moindre tune; c’est une scène qui attire un nouveau public, pas forcément attaché aux valeurs originelles du dub, mais plus à faire la fête à fond, a kiffer le son et les grosses basses; un public plus orienté club...
Pour finir Stand High c’est 10 ans à poser du son en soirée et cinq maxi: “Business of War”, “Hey Georges”, “Dubadub Definition”, “Amplifier” et “Mr Bossman”; Tous ou presque sont sold out et maintenant Stand High c'est un album : “Midnight Walkers”.
Ce nouvel album qui est disponible depuis la fin janvier en LP/CD et digital semble être un nouveau commencement pour les Bretons qui après avoir pas mal écumé les sound systèmes français ont voulu poser du contenu en studio. Le crew a des influences plus que nombreuses et diverses; bien sûr le dub des origines mais aussi la new wave, la bass music au sens général et même une petite dose de hip-hop. Ce melting pot d'influences a pour conséquence de proposer une musique qui n'a plus grand chose à voir avec le dub au sens stricto senso même si on retrouve un esprit de défricheurs et de bidouilleurs...
Assez proche du label allemand Jahtari ils creusent le même sillon d’une musique aux influences dub en proposant une version différente du reggae. Jahtari et disrupt l’on fait par leur approche « chip-tune » les Stand High emboîtent le pas avec des influences plus new wave parfumées au dub a dub.
Ils chamboulent les codes d’une musique souvent enfermée dans des lyrics militant où le rasta que nous ne somme pas tous, ne se reconnaît pas forcément. Attention, nous ne disons pas que les Stand High n’ont rien à dire que leurs lyrics sont tous légers. Certes par moment, l’ambiance est bonne enfant et le fond des textes n’est pas très profond. Ils racontent plus facilement leur "légende" et leurs soirées que la souffrance du monde. C'est une question de point de vue. Cependant certains morceaux marient avec brio une musicalité moderne, convaincante et un texte traitant d’actualité : « Boat People » par exemple qui fait le constat d’une certaine dissymétrie de traitement aux frontières en riches et pauvres. Le coté assez léger de certains textes comme le « The Bar » nous rappellera, un autre groupe français qui utilisait aussi le dub a dub avec brio mais en occitan, je veux bien évidement parler des Massilia Sound System qui dans leurs textes revendiquent une envie démesurée de mettre le oaï ! Une vision de la fête que, je pense, partagent les brestois nous le verrons plus loin dans l'album. Quoi qu'il en soit au niveau des lyrics, on a systématiquement le droit à des instrumentaux efficaces, léchés à la perfection pour proposer toujours une musique entraînante et novatrice.
Plus loin dans l'album, on retrouve avec un peu de surprise deux morceaux très hip-hop old school. On ne connaissait pas les Stand High dans ce registre mais « Muskateer Sword » et « Home made » aux intrus minimalistes et aux textes auto-centrés parlent du crew, de leurs aventures… on y retrouvera des influences ou des clins d’œil au Hip-Hop américain de l’époque de Grand Master Flash et du courant de la fin des années 80… assez déconcertant mais très bien réalisé.
Le disque avance et le meilleur arrive avec des tunes digitales comme savent si bien le faire les Stand High : « The Big Tree » un ôde à un arbre, est un sublime morceau introduit en accapella pour une montée en puissance ou le flow aiguisé de Pupajim rebondit sur le riddim digital. Dans « Dub it » et « Holiday today » on sent l’ambiance des soirées « dubadub residance » du Vauban avec des morceaux entre dub steppa et électro avec une pointe de new wave; synthétiques, percussifs, répétitifs, et dansants, ils revigorent cette fin d’album. On enchaîne par « Speaker Box », un mix qui gratte, dirty style, découpé sur un riddim steppa militaire avec une basse pachydermique puis vient « Automatic Attack » expérimentation sonore qui finit sur une explosion très clubbing…
On ne pouvait pas en attendre moins des Stand High, ils produisent une musique étiquetée dub mais n’en ont plus (ou pas) la fibre… j’entends déjà les vieux de la vieille crier au scandale : "De mon temps le dub c'était différent". "On sait, ils sont comme ça, les jeunes de nos nos jours, ils se jouent des codes et ne respectent plus rien". Certes pas besoin d’être rasta et d’avoir des dreads pour kiffer et faire cette musique les Stand High l’ont bien compris. Par contre le dub est mis de coté, l'utilisation d’effets est minimale, les codes du genre sont très discrets et à notre avis le crew fait un pas de plus vers une musique de club. On retrouve les Stand High dans une position assez ambiguë à la limite schizo, entre dub et club, tunes posées et travaillées et tunes orientées dancefloor, une production entre prod de sound et album studio. Ça resemble au début d'une transition, ou les bretons tenterons de maintenir leur public de base avec des maxis vinyls plus sérieux du genre de Frequencies que Pupajim avait fait avec King Midas et tenterons de convaincre un public moins acquis au milieu du dub; beau pari...
Au final l'album est très dansant et va fédérer les dubbers et les clubbers sur certains morceaux, plaire aux amateurs de nouveaux sons ainsi qu’aux aficionados du crew; mais en tout les cas il va cartonner, c'est sur tout simplement parce que les Stand High sont une machine à tube !
" Ernest est le premier "vrai" album de Volfoniq. Après 7 années passées à voyager, rencontrer et échanger, produire des maxis et des remixes, le musicien pose sa fameuse casquette pour partager
avec vous 11 morceaux inspirés par ses expériences. "
LCL - novembre 2011
" Cet album est dédié à Ernest, qui m'a enseigné l'art du voyage par la pensée, et comment voir sans utiliser mes yeux.
Ernest a visité de nombreux pays sans se déplacer, découvert des cultures différentes, partagé son savoir et appris avec humilité.
Je me suis efforcé de suivre ses pas et j'ai réuni des fragments de mes expéditions, compilés dans ce carnet de voyage qui porte son nom... "
" Ernest est le premier "vrai" album de Volfoniq. Après 7 années passées à voyager, rencontrer et échanger, produire des maxis et des remixes, le musicien pose sa fameuse casquette pour partager avec vous 11 morceaux inspirés par ses expériences. "
LCL - novembre 2011
" Cet album est dédié à Ernest, qui m'a enseigné l'art du voyage par la pensée, et comment voir sans utiliser mes yeux.
Ernest a visité de nombreux pays sans se déplacer, découvert des cultures différentes, partagé son savoir et appris avec humilité.
Je me suis efforcé de suivre ses pas et j'ai réuni des fragments de mes expéditions, compilés dans ce carnet de voyage qui porte son nom... "
Né le 30 avril 1964 à Kingston en Jamaïque, Barrington Levy est un chanteur de reggae qui a débuté au sein du groupe Mighty Multitudes. En 1979, à l'âge de 15 ans il enregistre plusieurs hits produits par Hyman "Jah Life" Wright et Henry "Junjo" Lawes sur les riddims des Roots Radics qui sont considérés comme des morceaux précurseurs du style dancehall : Ah yah we deh, Shine eye girl, Looking my love et Collie weed.
Son premier album, Bounty Hunter qui parait la même année est un grand succès. Les enregistrements qui le suivent, pour le label Volcano de Junjo Lawes, pour Jah Life à New York ou pour le label Powerhouse de George Phang, installent Barrington Levy au rang de star du dancehall avant ses 20 ans.
Après un petit passage à vide au début des années 80, il rencontre Jah Screw, producteur et ancien selecteur du SturGav sound, et enregistre le hit Under me sensi en 1984. Jah Screw reprend la carrière de Barrington Levy en main, en produisant des morceaux plus cross-over comme Here I come qui est encore aujourd'hui la chanson la plus connue aux États-Unis, en Angleterre et en Europe.
En 1995, Barrington Levy renoue avec le succès dans les dancehalls avec une série de combinaisons produites par Jah Screw : il combine notamment avec Bounty Killer (Living dangerously), Cutty Ranks, Lady Saw et Spragga Benz. C'est encore une combinaison, cette fois-ci avec le rappeur Shyne, qui le ramène en 1999 sur le devant de la scène dancehall et hip-hop.
Après 25 années de carrière, Barrington Levy est donc encore au top à tous les points de vue : il est plébiscité par les fans de roots, les plus gros sound systems passent ses morceaux et il est apprécié par de nombreux fans de hip-hop.
Voici une liste, non exhaustive, de quelques uns de ses plus grands tubes : Shine Eye Gal (Up Park Camp riddim), Collie Weed (Conversation riddim), Bounty Hunter, A Yah We Deh, Under Me Sensi (African Beat riddim), Looking My Love (Real Rock riddim), Murderer (Hot Milk riddim), Be Strong, Here I Come (Revolution riddim), Sensimilla, Englishman, Look Youthman, Sweet Reggae Music (Far East riddim), Rock & Come In (Stalag riddim), Prison Oval Rock, Too Experienced (reprise de Bob Andy)...A noter que sa chanson "Here I Come" est présente sur K-Jah West, une radio de reggae virtuelle dans le jeu GTA San Andreas.
Né le 30 avril 1964 à Kingston en Jamaïque, Barrington Levy est un chanteur de reggae qui a débuté au sein du groupe Mighty Multitudes. En 1979, à l'âge de 15 ans il enregistre plusieurs hits produits par Hyman "Jah Life" Wright et Henry "Junjo" Lawes sur les riddims des Roots Radics qui sont considérés comme des morceaux précurseurs du style dancehall : Ah yah we deh, Shine eye girl, Looking my love et Collie weed.
Son premier album, Bounty Hunter qui parait la même année est un grand succès. Les enregistrements qui le suivent, pour le label Volcano de Junjo Lawes, pour Jah Life à New York ou pour le label Powerhouse de George Phang, installent Barrington Levy au rang de star du dancehall avant ses 20 ans.
Après un petit passage à vide au début des années 80, il rencontre Jah Screw, producteur et ancien selecteur du SturGav sound, et enregistre le hit Under me sensi en 1984. Jah Screw reprend la carrière de Barrington Levy en main, en produisant des morceaux plus cross-over comme Here I come qui est encore aujourd'hui la chanson la plus connue aux États-Unis, en Angleterre et en Europe.
En 1995, Barrington Levy renoue avec le succès dans les dancehalls avec une série de combinaisons produites par Jah Screw : il combine notamment avec Bounty Killer (Living dangerously), Cutty Ranks, Lady Saw et Spragga Benz. C'est encore une combinaison, cette fois-ci avec le rappeur Shyne, qui le ramène en 1999 sur le devant de la scène dancehall et hip-hop.
Après 25 années de carrière, Barrington Levy est donc encore au top à tous les points de vue : il est plébiscité par les fans de roots, les plus gros sound systems passent ses morceaux et il est apprécié par de nombreux fans de hip-hop.
Voici une liste, non exhaustive, de quelques uns de ses plus grands tubes : Shine Eye Gal (Up Park Camp riddim), Collie Weed (Conversation riddim), Bounty Hunter, A Yah We Deh, Under Me Sensi (African Beat riddim), Looking My Love (Real Rock riddim), Murderer (Hot Milk riddim), Be Strong, Here I Come (Revolution riddim), Sensimilla, Englishman, Look Youthman, Sweet Reggae Music (Far East riddim), Rock & Come In (Stalag riddim), Prison Oval Rock, Too Experienced (reprise de Bob Andy)...A noter que sa chanson "Here I Come" est présente sur K-Jah West, une radio de reggae virtuelle dans le jeu GTA San Andreas.
Miss Muffin, la nueva promesa del Reggae en Colombia y Latinoamérica • Su primer disco como solista se llama HEAR THIS y el productor de este trabajo discográfico es Carlos Iván Medina. (del Bloque de Carlos Vives) En Colombia nace una nueva artista, Miss Muffin, que comenzó su vida musical a los 12 años y poco a poco ha ido incursionando en el mundo del Reggae. Esta artista lanza en Colombia su primer disco titulado HEAR THIS, gracias al apoyo de personas como Carlos Iván Medina, productor junto con Carlos vives de el CD mas vendido en Colombia en este momento que pronto se convertirá en platino "Pombo musical" con la participación de Juanes y Fonseca, y Carlos Vives, el gran activista de la música y de la cultura en Colombia y especialmente en la costa y el Caribe que se enamoró del proyecto Estos grandes representantes de la música en Colombia le apuestan a MISS MUFFIN porque es artista integral, pinta, diseña, grafitea, escribe, toca guitarra y piano, compone su lírica y armonía. Es una cantautora excepcional y uno de sus rasgos más fuertes es su individualismo, donde lucha por la libertad del pensamiento, expresión, ideología y estilo; "Ella quiere que sus palabras lleguen a tus oídos", "sueña con la verdad y el amor", cree que "la Música con conciencia llenara la audiencia". HEAR THIS es una producción independiente donde se puede oír su diversidad de estilos: Miss Muffin es Freestyle, hace scatterin, y raggamuffinea, su música contiene elementos de Reggae jamaiquino y California style. La indiscutible mezcla de sus líricas y el balance entre sus dos opuestos, la urbe (Medellín y Bogotá) y el caribe, (Old Providence island y Cartagena) hacen de esta artista y de su música, una explosión única de ritmo y energía. Gracias a esta combinación nace su versatilidad de intercalar su bilingüismo y estilo urbano-caribbean.
Miss Muffin, la nueva promesa del Reggae en Colombia y Latinoamérica • Su primer disco como solista se llama HEAR THIS y el productor de este trabajo discográfico es Carlos Iván Medina. (del Bloque de Carlos Vives) En Colombia nace una nueva artista, Miss Muffin, que comenzó su vida musical a los 12 años y poco a poco ha ido incursionando en el mundo del Reggae. Esta artista lanza en Colombia su primer disco titulado HEAR THIS, gracias al apoyo de personas como Carlos Iván Medina, productor junto con Carlos vives de el CD mas vendido en Colombia en este momento que pronto se convertirá en platino "Pombo musical" con la participación de Juanes y Fonseca, y Carlos Vives, el gran activista de la música y de la cultura en Colombia y especialmente en la costa y el Caribe que se enamoró del proyecto Estos grandes representantes de la música en Colombia le apuestan a MISS MUFFIN porque es artista integral, pinta, diseña, grafitea, escribe, toca guitarra y piano, compone su lírica y armonía. Es una cantautora excepcional y uno de sus rasgos más fuertes es su individualismo, donde lucha por la libertad del pensamiento, expresión, ideología y estilo; "Ella quiere que sus palabras lleguen a tus oídos", "sueña con la verdad y el amor", cree que "la Música con conciencia llenara la audiencia". HEAR THIS es una producción independiente donde se puede oír su diversidad de estilos: Miss Muffin es Freestyle, hace scatterin, y raggamuffinea, su música contiene elementos de Reggae jamaiquino y California style. La indiscutible mezcla de sus líricas y el balance entre sus dos opuestos, la urbe (Medellín y Bogotá) y el caribe, (Old Providence island y Cartagena) hacen de esta artista y de su música, una explosión única de ritmo y energía. Gracias a esta combinación nace su versatilidad de intercalar su bilingüismo y estilo urbano-caribbean.
Le dernier album de La Phaze est arrivé ! Je me calme, je respire et je revêts mon habit froid de chroniqueuse qui va oublier le temps de ces quelques lignes qu’elle est dingue de ce groupe. Donc, La Phaze, depuis Miracle paru en 2008, j’étais à l’affût, impatiente, et Psalms and Revolution est là. Plus de trois ans d’attente, mais, entre temps, les membres fondateurs du groupe ont été bien occupé, le guitariste, Arnaud Fournier est parti accompagner la chanteuse du projet Clytem Scanning sur scène, quant à Damny Baluteau, le chanteur, il a fait un tour du côté du « Bal des Enragés » et nous a, au passage, gratifier d’un très bel album solo (objectivité, objectivité, objectivité…).
Je l’avoue, la première écoute m’a déconcertée, le groupe donne l’impression de reproduire le même schéma que ses albums précédents. La Phaze se caractérise par un mélange de punk, drum and bass, rock, bien identifiable et on le retrouve ici, sans ajouts ou renouvellement apparent. Je persévère, et je finirais bien par considérer qu’il s’agit du seul défaut du disque. C’est avec plaisir qu’on retrouve le chant toujours plus affuté et ses lyrics coup de poing, notamment sur « The Battle » (premier single à sortir en duo avec Zhi de Puppetmastaz), Psalms and Revolution, vaguement inspiré far-west et Magnetism !
L’album est quasi-exclusivement en anglais à l’exception du très sombre Temps de chien, qui évoque la mort, le meurtre, The Battle et Saints … En définitive, les dix titres proposés par La Phaze s’avèrent plus qu’efficaces, alors oui, la recette est la même, mais le plaisir est toujours là, bien insensible celui qui ne remuera pas en les écoutant ! Un peu d’amour quand même avec Searching for you, paroles simples voire répétitives, d’une manière générale, c’est ce que l’on peut constater avec l’écriture en anglais, moins riche que les textes produit en français. Juste un bémol pour Control Panel, qui dénote un peu de l’ensemble…
En ce moment le groupe se produit en Espagne et courant avril repasse par la France, guettez les dates sur leur MySpace, sur scène vous allez assister à une explosion, ils vont vous emporter dans leur sillage, ces garçons sont des piles électriques !
Le dernier album de La Phaze est arrivé ! Je me calme, je respire et je revêts mon habit froid de chroniqueuse qui va oublier le temps de ces quelques lignes qu’elle est dingue de ce groupe. Donc, La Phaze, depuis Miracle paru en 2008, j’étais à l’affût, impatiente, et Psalms and Revolution est là. Plus de trois ans d’attente, mais, entre temps, les membres fondateurs du groupe ont été bien occupé, le guitariste, Arnaud Fournier est parti accompagner la chanteuse du projet Clytem Scanning sur scène, quant à Damny Baluteau, le chanteur, il a fait un tour du côté du « Bal des Enragés » et nous a, au passage, gratifier d’un très bel album solo (objectivité, objectivité, objectivité…).
Je l’avoue, la première écoute m’a déconcertée, le groupe donne l’impression de reproduire le même schéma que ses albums précédents. La Phaze se caractérise par un mélange de punk, drum and bass, rock, bien identifiable et on le retrouve ici, sans ajouts ou renouvellement apparent. Je persévère, et je finirais bien par considérer qu’il s’agit du seul défaut du disque. C’est avec plaisir qu’on retrouve le chant toujours plus affuté et ses lyrics coup de poing, notamment sur « The Battle » (premier single à sortir en duo avec Zhi de Puppetmastaz), Psalms and Revolution, vaguement inspiré far-west et Magnetism !
L’album est quasi-exclusivement en anglais à l’exception du très sombre Temps de chien, qui évoque la mort, le meurtre, The Battle et Saints … En définitive, les dix titres proposés par La Phaze s’avèrent plus qu’efficaces, alors oui, la recette est la même, mais le plaisir est toujours là, bien insensible celui qui ne remuera pas en les écoutant ! Un peu d’amour quand même avec Searching for you, paroles simples voire répétitives, d’une manière générale, c’est ce que l’on peut constater avec l’écriture en anglais, moins riche que les textes produit en français. Juste un bémol pour Control Panel, qui dénote un peu de l’ensemble…
En ce moment le groupe se produit en Espagne et courant avril repasse par la France, guettez les dates sur leur MySpace, sur scène vous allez assister à une explosion, ils vont vous emporter dans leur sillage, ces garçons sont des piles électriques !
08001 est un projet conçu comme un atelier ou un work in progress : c'est un groupe de musiciens en constante évolution, ouvert aux artistes du monde entier qui arrivent jour après jour dans le quartier barcelonais du Raval.
Cela fait maintenant cinq ans que 08001 a vu le jour dans le studio où ils continuent encore de répéter et d'enregistrer, dans le quartier du Raval, dont le code postal sert de nom au groupe.
Ils continuent de travailler à la maison et à leur rythme, comme on cuisinerait un bon petit plat. Une douzaine d'artistes de différentes nationalités sont passés par le studio de Julian Urigoitia, le fondateur du projet, afin de se connaître, se rencontrer, échanger, créer, chercher, ... et ainsi obtenir un son authentique et très caractéristique, l'essence même du Raval. Pour 08001, peu importe le curriculum des artistes, seule compte cette musique que s'écoule libre, pleine de vie.
La mise en scène combine la participation de nombreux artistes avec un véritable spectacle visuel. Le groupe a débuté dans le même quartier dont il porte le nom, lors des concerts organisés par le SONAR (Festival Internacional de Música Avanzada y Arte Multimedia Sónar de Barcelona). Après ce concert, a suivi une grande tournée en Espagne et dans certains pays d'Europe, où ils ont reçu les éloges de la presse, notamment de la part du magazine anglais Times.
Le précédent album Raval ta joie a reçu le prix Premios Impala pour avoir atteint l'objectif des 30.000 albums vendus, ainsi que de nombreuses bonnes critiques :
Ce big band de «nouvelle génération de barcelonais» a réussi à développer un son différent […] qui tend vers l'exploration de nouveaux territoires, la création, la découverte, un authentique rock-pop international allant jusqu'aux sonorités soul-raï avec une pointe de trip-hop. Une friandise pour tout le monde… LA VANGUARDIA (Mingus B. Formentor)
La grâce de 08001 est que sa musique échappe à tous les clichés jusqu'ici appliqués à la musique métissée… EL PAÍS (Luis Hidalgo)
08001 est un multigroupe de différentes ethnies, couleurs et caractères, une manière de concevoir la musique de Barcelone du nouveau millénaire, en constante transformation et qui s'autogestionne … LA VANGUARDIA (Esteba Linés)
Le 19 juin dernier, le groupe a présenté son nouvel album, Vorágine (Work in Progress), en vente en Espagne. Il est certain qu'on en entendra parler…
Tracklist : 1- Araien 2- Don´t trouble 3- Lack for love I 4- Lack for love II 5- Star 6- Burning 7- Disfunction 8- Doute 9- Flamenco uno 10- Chelay 11- Orino - Enjoy
08001 est un projet conçu comme un atelier ou un work in progress : c'est un groupe de musiciens en constante évolution, ouvert aux artistes du monde entier qui arrivent jour après jour dans le quartier barcelonais du Raval.
Cela fait maintenant cinq ans que 08001 a vu le jour dans le studio où ils continuent encore de répéter et d'enregistrer, dans le quartier du Raval, dont le code postal sert de nom au groupe.
Ils continuent de travailler à la maison et à leur rythme, comme on cuisinerait un bon petit plat. Une douzaine d'artistes de différentes nationalités sont passés par le studio de Julian Urigoitia, le fondateur du projet, afin de se connaître, se rencontrer, échanger, créer, chercher, ... et ainsi obtenir un son authentique et très caractéristique, l'essence même du Raval. Pour 08001, peu importe le curriculum des artistes, seule compte cette musique que s'écoule libre, pleine de vie.
La mise en scène combine la participation de nombreux artistes avec un véritable spectacle visuel. Le groupe a débuté dans le même quartier dont il porte le nom, lors des concerts organisés par le SONAR (Festival Internacional de Música Avanzada y Arte Multimedia Sónar de Barcelona). Après ce concert, a suivi une grande tournée en Espagne et dans certains pays d'Europe, où ils ont reçu les éloges de la presse, notamment de la part du magazine anglais Times.
Le précédent album Raval ta joie a reçu le prix Premios Impala pour avoir atteint l'objectif des 30.000 albums vendus, ainsi que de nombreuses bonnes critiques :
Ce big band de «nouvelle génération de barcelonais» a réussi à développer un son différent […] qui tend vers l'exploration de nouveaux territoires, la création, la découverte, un authentique rock-pop international allant jusqu'aux sonorités soul-raï avec une pointe de trip-hop. Une friandise pour tout le monde… LA VANGUARDIA (Mingus B. Formentor)
La grâce de 08001 est que sa musique échappe à tous les clichés jusqu'ici appliqués à la musique métissée… EL PAÍS (Luis Hidalgo)
08001 est un multigroupe de différentes ethnies, couleurs et caractères, une manière de concevoir la musique de Barcelone du nouveau millénaire, en constante transformation et qui s'autogestionne … LA VANGUARDIA (Esteba Linés)
Le 19 juin dernier, le groupe a présenté son nouvel album, Vorágine (Work in Progress), en vente en Espagne. Il est certain qu'on en entendra parler…
Tracklist : 1- Araien 2- Don´t trouble 3- Lack for love I 4- Lack for love II 5- Star 6- Burning 7- Disfunction 8- Doute 9- Flamenco uno 10- Chelay 11- Orino - Enjoy
Welcome in the world of MikkiM, a place where the united beats of techno, jungle and breakbeat meet the hypnotic offbeats of ska & reggae, the psychedelic dub space delays and the dirty wild punk notes. In my songs I'm using, besides my own ideas, a lot of my favourite music that I sample, reshape and deform with the help of my machines and computer. In my livesets and in my studio stuff, you might hear some well known sampled fragments, basslines, vocals, etc. from The Clash, Madness, Specials,Renegade Soundwave, Dreadzone,and many more surprises...
I have variety of different styles that I can play live. It depends on what type of action i play, but I mostly enjoy doing a journey through all of them.. I can play dub oriented liveset, then broken beats style - breakbeat, jungle and drum&bass and finally straight beat techno or hardtek style.In this liveset you can hear what i call skatek, pumping techno ranging from 150 till 180bpm with offbeat ska style and live instrument and vocal samples. My live performance is a bit different from my studio production, it is more oriented for the dancefloor with lot of unexpected combinations. Come to see my show! ;)
I was playing gigs in about 12 different european countries, I was the support live act for the Dreadzone, Zion Train and I share the stage with many well known bands,electronic projects,livesets and djs, sometimes being a headliner for the festival or a club night. In my studio I welcome lot of internationally known artists,that I can call my friends aswell-Gary Asquith from Renegade Soundwave,Dr.Ring Ding,Victor Rice,MC Benjammin,MC Turner,MC Tribuman,Macka B etc..
Together with my friends we are running a record label IO.lab ,where i personally take care about Offbeat Division,sublabel specialized on electronic music influenced by ska, reggae and dub. We are also runing internet radio23 , mixing, mastering and producing other artists.
I m also connected with the Cross Club in Prague, where I am sound engineering and where I have my studio.
Welcome in the world of MikkiM, a place where the united beats of techno, jungle and breakbeat meet the hypnotic offbeats of ska & reggae, the psychedelic dub space delays and the dirty wild punk notes. In my songs I'm using, besides my own ideas, a lot of my favourite music that I sample, reshape and deform with the help of my machines and computer. In my livesets and in my studio stuff, you might hear some well known sampled fragments, basslines, vocals, etc. from The Clash, Madness, Specials,Renegade Soundwave, Dreadzone,and many more surprises...
I have variety of different styles that I can play live. It depends on what type of action i play, but I mostly enjoy doing a journey through all of them.. I can play dub oriented liveset, then broken beats style - breakbeat, jungle and drum&bass and finally straight beat techno or hardtek style.In this liveset you can hear what i call skatek, pumping techno ranging from 150 till 180bpm with offbeat ska style and live instrument and vocal samples. My live performance is a bit different from my studio production, it is more oriented for the dancefloor with lot of unexpected combinations. Come to see my show! ;)
I was playing gigs in about 12 different european countries, I was the support live act for the Dreadzone, Zion Train and I share the stage with many well known bands,electronic projects,livesets and djs, sometimes being a headliner for the festival or a club night. In my studio I welcome lot of internationally known artists,that I can call my friends aswell-Gary Asquith from Renegade Soundwave,Dr.Ring Ding,Victor Rice,MC Benjammin,MC Turner,MC Tribuman,Macka B etc..
Together with my friends we are running a record label IO.lab ,where i personally take care about Offbeat Division,sublabel specialized on electronic music influenced by ska, reggae and dub. We are also runing internet radio23 , mixing, mastering and producing other artists.
I m also connected with the Cross Club in Prague, where I am sound engineering and where I have my studio.